Tag La biblioteca de Gabo

Gabo en voz alta – @Elena

Bonjour à toustes ! On commence les recommandations lectures des vacataires avec « Art impossible » de Geoffroy de Lagasnerie présenté par Elena.

Gabo en voz alta – @Alicia

Bienvenue au 2ème book review! 🤓 This week’s book is The Alchemist by Paulo Coelho, one of the bestselling books of all time (and with good reason!). See for yourself what it’s all about by checking out the Portuguese version at the library. 😊

Gabo en voz alta – @Astrid

Dans le cadre du Black History Month, petite plongée dans l’écriture inspirante de Maboula SOUMAHORO avec son oeuvre « Le Triangle et l’Hexagone » 💛. N’oublie pas de monter le volume pour entendre ma jolie voix 😍🔊. Bonne écoute 🌺.

Gabo en voz alta – @Tamaya

Aujourd’hui: « Las Cosas que perdimos en fuego » de Mariana Enriquez Il vient d’arriver à notre bibliothèque, n’hésitez pas à l’emprunter!!

Gabo en voz alta – @Lou

Gabo en voz alta #7! Lou nous parle aujourd’hui de « Le Mystère Henri Pick » ❓ Écrit par David Foenkinos, ce roman nous transporte dans une bibliothèque bretonne qui abrite des manuscrits refusés par les éditeurs. L’un d’eux, écrit par un pizzaïolo apparemment sans talent littéraire, devient un succès phénoménal. Mais derrière ce chef-d’œuvre inattendu se cache une énigme… Une enquête littéraire commence, mêlant suspense, humour et critique du monde de l’édition. #gaboenvozalta #bookreview

Gabo en voz alta – @Noemie

Après de nombreuses recherches sur Françoise Vergès, il m’a semblé indispensable d’ajouter une note en description de cette publication.⚠️ Françoise Vergès est enseignante-chercheuse en sciences politiques spécialiste de la [dé]colonisation et de l’esclavage. Si sa famille – bourgeoise et politiquement influente – est originaire de la Réunion, sa mère était une zorey (blanc.hes de l’hexagone installé.es à la Réunion) et son père métis asiatique et blanc. L’information circule dans les milieux universitaires et militants : Vergès plagie les travaux de doctorantes afro-descendantes. Par ailleurs, lorsqu’elle est invitée à se situer racialement, Vergès évoque ses origines vietnamiennes et réunionnaises, mais ne se situe jamais explicitement sur le plan racial. De la même manière, les médias la présentent fréquemment comme africaine ou afro-descendante, sans qu’elle ne les corrige jamais, alimentant cette ambiguïté raciale. Le tout, sans compter sa monopolisation de l’espace littéraire et médiatique français sur les questions de féminisme décolonial et d’afro-féminisme (conférence-débat “De la nécessité de l’afro-féminisme en France” organisée par l’ADEAS, rencontres sur la condition noire en France en 2022…). Grâce aux relations qu’elle et sa famille ont fut un temps entretenues avec les gouvernements successifs, elle a notamment occupé le poste de présidente du comité pour la mémoire et l’esclavage (CNMHE). Elle se plaît d’ailleurs à s’exprimer sur les réparations. Pourtant, sa famille, autrefois propriétaire d’esclaves, a été dédommagée à la fin de l’esclavage en 1848, sans qu’aucune trace de réparations de la part des Vergès ne soit recensée à ce jour. À la lumière de ces découvertes, et après avoir longtemps hésité à simplement supprimer la publication (dans un souci d’arrêter de lui donner de la visibilité), il m’a semblé plus intéressant de faire une synthèse de ce que j’avais appris et de la partager. Nb : Il y aurait encore beaucoup des choses à dire, mais je vous invite à aller vous renseigner si cela vous intéresse ! N’hésitez pas à me dm si vous voulez les sources. *Ne lisez pas Françoise Vergès, boycottez-la.