Publié le 18/07/2020 à 16:12 | Mis à jour le 18/07/2020 à 17:53
Pour la première fois en dix éditions, le festival photographique de Moncoutant consacre une exposition à six jeunes photographes locaux. Lola Pineau, lycéenne moncoutantaise de 17 ans, explique la démarche.
Voilà donc ma dernière chronique dans Le 7, la dernière page blanche sur laquelle les mots peinent parfois à voir le jour, la dernière relecture et la dernière nuit écourtée juste avant la date limite. Avec cette opportunité d’écriture, j’ai tenté en quelques lignes, toutes les sept semaines, de parler de certains sujets qui me tiennent à cœur : d’écologie, de féminisme, de travail, d’épanouissement… L’actualité me poussait cette fois-ci à parler de racisme, entre la mort de George Floyd qui a tant fait parler de violences policières racistes dans le monde et les collectifs qui se battent pour la même cause en France, par exemple en demandant vérité et justice pour Adama Traoré.
Publié le 28/01/2019 à 12h11 • Mis à jour le 11/06/2020 à 12h13
Écrit par C.H
A Poitiers, les 186 étudiants de Sciences-Po ont quitté ce lundi les locaux exigus de leur école pour emménager dans un bâtiment plus moderne et plus grand.
Des étudiants de Sciences Po organisent un débat de la jeunesse, pour le premier tour des élections municipales à Poitiers. Ce débat public aura lieu le mercredi 11 mars, à 19 heures, dans les locaux de leur école, 23, rue Jean-Jaurès.
L’association Pássaro, créée il y a deux ans à Sciences Po Poitiers, organise en avril une conférence sur le rôle des associations dans l’accueil des réfugiés.
Faciliter l’intégration des personnes réfugiées en France, et particulièrement à Poitiers. C’est l’objectif de Pássaro, cette toute jeune association étudiante poitevine, née dans l’enceinte de Sciences Po. D’origine portugaise, le mot « pássaro » signifie oiseau. « L’oiseau représente la migration, le mouvement, le fait de quitter un endroit pour un autre, analyse Mélie Lages, étudiante en deuxième année et co-présidente de l’association depuis l’an dernier. Le nom avait été choisi par les fondateurs partis après la fin de leur formation. »
Zoé est féministe depuis l’âge de treize ans. Très engagée dans la cause, elle fait partie de l’association « Volar », à Poitiers, une association qui vise à promouvoir le féminisme mais également les droits et la culture LGBTQ +.