Les cultures de la péninsule ibérique et de l’Amérique latine sont rentrées dans notre imaginaire par la culture populaire, et notamment grâce au cinéma. (Les Mystérieuses Cités d’Or, Coco, Kuzco, Encanto, La Casa de Papel, Narcos…). Les films espagnols, portugais, latino-américains et amérindiens constituent un laboratoire de la fabrication des identités nationales et régionales grâce à des réalisateurs comme Luis Bunuel, Alfonso Cuaron, Manoel de Oliveira, Pedro Almodovar ou Carlos Saura, dont les productions sont de plus en plus visibles dans les festivals (Cannes, Hollywood, Annecy, Saint-Sébastien, Venise, Berlin…). Cette mise en lumière permet de faire le point sur la « guerre des images » en cours entre les stéréotypes établis sur le monde ibérique et les nouvelles interprétations en provenance des territoires concernés. On peut également observer les techniques et esthétiques caractéristiques du cinéma latino-américain, qui fait désormais partie du patrimoine cinématographique mondial.
Cet atelier tente de répondre aux questions suivantes : Qu’est-ce qui est spécifique au cinéma de et sur le monde ibéro-américain ? Comment les réalisateur.ices se positionnent-iels dans cette industrie mondialisée ? Quels sont les enjeux de production de ce cinéma ?
Les étudiants ont été amenés à imaginer un projet de création cinématographique dans le genre (fiction, documentaire, animation) et le format (court, moyen, long métrage) de leur choix sous forme d’une bible détaillée. Pour les y aider, plusieurs séances ont été délocalisées à la bibliothèque du campus, afin que les étudiant.e.s puissent s’inspirer des livres à leur disposition (arts, littérature, sociologie, histoire) pour construire leur projet.
Les deux professeurs en charge de l’atelier, Manuel-Antonio Monteagudo et Antoine Gely, ont sélectionné un panel des réalisations les plus originales. Merci à tous les étudiant.e.s pour leur enthousiasme et leur créativité dans ce projet !
Les cultures de la péninsule ibérique et de l’Amérique latine sont rentrées dans notre imaginaire par la culture populaire, et notamment grâce au cinéma. (Les Mystérieuses Cités d’Or, Coco, Kuzco, Encanto, La Casa de Papel, Narcos…). Les films espagnols, portugais, latino-américains et amérindiens constituent un laboratoire de la fabrication des identités nationales et régionales grâce à des réalisateurs comme Luis Bunuel, Alfonso Cuaron, Manoel de Oliveira, Pedro Almodovar ou Carlos Saura, dont les productions sont de plus en plus visibles dans les festivals (Cannes, Hollywood, Annecy, Saint-Sébastien, Venise, Berlin…). Cette mise en lumière permet de faire le point sur la « guerre des images » en cours entre les stéréotypes établis sur le monde ibérique et les nouvelles interprétations en provenance des territoires concernés. On peut également observer les techniques et esthétiques caractéristiques du cinéma latino-américain, qui fait désormais partie du patrimoine cinématographique mondial.
Cet atelier tente de répondre aux questions suivantes : Qu’est-ce qui est spécifique au cinéma de et sur le monde ibéro-américain ? Comment les réalisateur.ices se positionnent-iels dans cette industrie mondialisée ? Quels sont les enjeux de production de ce cinéma ?
Les étudiants ont été amenés à imaginer un projet de création cinématographique dans le genre (fiction, documentaire, animation) et le format (court, moyen, long métrage) de leur choix sous forme d’une bible détaillée. Pour les y aider, plusieurs séances ont été délocalisées à la bibliothèque du campus, afin que les étudiant.e.s puissent s’inspirer des livres à leur disposition (arts, littérature, sociologie, histoire) pour construire leur projet.
Les deux professeurs en charge de l’atelier, Manuel-Antonio Monteagudo et Antoine Gely, ont sélectionné un panel des réalisations les plus originales. Merci à tous les étudiant.e.s pour leur enthousiasme et leur créativité dans ce projet !
Les cultures de la péninsule ibérique et de l’Amérique latine sont rentrées dans notre imaginaire par la culture populaire, et notamment grâce au cinéma. (Les Mystérieuses Cités d’Or, Coco, Kuzco, Encanto, La Casa de Papel, Narcos…). Les films espagnols, portugais, latino-américains et amérindiens constituent un laboratoire de la fabrication des identités nationales et régionales grâce à des réalisateurs comme Luis Bunuel, Alfonso Cuaron, Manoel de Oliveira, Pedro Almodovar ou Carlos Saura, dont les productions sont de plus en plus visibles dans les festivals (Cannes, Hollywood, Annecy, Saint-Sébastien, Venise, Berlin…). Cette mise en lumière permet de faire le point sur la « guerre des images » en cours entre les stéréotypes établis sur le monde ibérique et les nouvelles interprétations en provenance des territoires concernés. On peut également observer les techniques et esthétiques caractéristiques du cinéma latino-américain, qui fait désormais partie du patrimoine cinématographique mondial.
Cet atelier tente de répondre aux questions suivantes : Qu’est-ce qui est spécifique au cinéma de et sur le monde ibéro-américain ? Comment les réalisateur.ices se positionnent-iels dans cette industrie mondialisée ? Quels sont les enjeux de production de ce cinéma ?
Les étudiants ont été amenés à imaginer un projet de création cinématographique dans le genre (fiction, documentaire, animation) et le format (court, moyen, long métrage) de leur choix sous forme d’une bible détaillée. Pour les y aider, plusieurs séances ont été délocalisées à la bibliothèque du campus, afin que les étudiant.e.s puissent s’inspirer des livres à leur disposition (arts, littérature, sociologie, histoire) pour construire leur projet.
Les deux professeurs en charge de l’atelier, Manuel-Antonio Monteagudo et Antoine Gely, ont sélectionné un panel des réalisations les plus originales. Merci à tous les étudiant.e.s pour leur enthousiasme et leur créativité dans ce projet !
Les cultures de la péninsule ibérique et de l’Amérique latine sont rentrées dans notre imaginaire par la culture populaire, et notamment grâce au cinéma. (Les Mystérieuses Cités d’Or, Coco, Kuzco, Encanto, La Casa de Papel, Narcos…). Les films espagnols, portugais, latino-américains et amérindiens constituent un laboratoire de la fabrication des identités nationales et régionales grâce à des réalisateurs comme Luis Bunuel, Alfonso Cuaron, Manoel de Oliveira, Pedro Almodovar ou Carlos Saura, dont les productions sont de plus en plus visibles dans les festivals (Cannes, Hollywood, Annecy, Saint-Sébastien, Venise, Berlin…). Cette mise en lumière permet de faire le point sur la « guerre des images » en cours entre les stéréotypes établis sur le monde ibérique et les nouvelles interprétations en provenance des territoires concernés. On peut également observer les techniques et esthétiques caractéristiques du cinéma latino-américain, qui fait désormais partie du patrimoine cinématographique mondial.
Cet atelier tente de répondre aux questions suivantes : Qu’est-ce qui est spécifique au cinéma de et sur le monde ibéro-américain ? Comment les réalisateur.ices se positionnent-iels dans cette industrie mondialisée ? Quels sont les enjeux de production de ce cinéma ?
Les étudiants ont été amenés à imaginer un projet de création cinématographique dans le genre (fiction, documentaire, animation) et le format (court, moyen, long métrage) de leur choix sous forme d’une bible détaillée. Pour les y aider, plusieurs séances ont été délocalisées à la bibliothèque du campus, afin que les étudiant.e.s puissent s’inspirer des livres à leur disposition (arts, littérature, sociologie, histoire) pour construire leur projet.
Les deux professeurs en charge de l’atelier, Manuel-Antonio Monteagudo et Antoine Gely, ont sélectionné un panel des réalisations les plus originales. Merci à tous les étudiant.e.s pour leur enthousiasme et leur créativité dans ce projet !
Une collaboration voit le jour entre une association de Sciences Po et le Baudet
Gwenaëlle Jonas, stagiaire au Baudet, 6/05/2025
Le Baudet, supermarché coopératif de Poitiers, entame un partenariat avec Ecophilia, association écologique étudiante du campus de Sciences Po. Le principe est le suivant : un panier de fruits et légumes est livré aux étudiants deux fois par mois par le supermarché du Baudet, qui fait l’intermédiaire avec les maraîchers qui le fournissent.
La toute première distribution a eu lieu le mercredi 9 avril, dans la cour intérieure du campus, sous un doux soleil printanier. Les membres de l’association étudiante Ecophilia ont tenu une permanence tout l’après-midi, afin de délivrer à chaque étudiant son panier de fruits et légumes. Chaque étudiant repartait avec son panier et, en bonus, un flyer de recettes créatives, spécialement adaptées au panier, proposées par l’association de cuisine du campus. En effet, le contenu du panier est toujours différent car il dépend des produits cultivés et récoltés sur l’exploitation du producteur.
Nous sommes allés à la rencontre de Elena Rouxel et Natacha Noury, étudiantes à Sciences Po et chargées du projet. Les étudiantes, qui ont participé à la distribution, expliquent les objectifs de ce partenariat : faire vivre les maraîchers locaux, pousser les étudiants à cuisiner avec des aliments frais, bio, locaux et de saison, tout en restant dans les limites d’un budget étudiant avec un panier à 5€. La taille du panier est également adaptée à un étudiant seul pour une semaine, afin d’éviter dans le même temps le gaspillage alimentaire. Natacha raconte “ce projet me tient à cœur, car comme mes parents font partie d’une AMAP [Association pour le maintien d’une agriculture paysanne], je suis familière avec ce type de dispositif et je suis contente de pouvoir continuer pendant mes études.”
Nous avons interrogé plusieurs étudiants ayant commandé un panier, une étudiante confie “en tant qu’étudiant.e.s, on mange rapidement n’importe quoi, par manque de temps, d’énergie, de motivation et ça [le panier], ça m’a poussé à cuisiner.” Elle nous cite les recettes : clafoutis de légumes, omelette aux épinards, pommes de terre au four. Un autre étudiant ajoute : “un panier d’une valeur de 5€, ça attire les étudiants”. Une dernière s’exclame : “moi, je n’avais pas commandé, j’attendais de voir ce qu’il pouvait y avoir dans le panier de ma colocataire : ça m’a décidé à m’inscrire l’année prochaine !”
Thierry Grasset, coopérateur du Baudet, se charge de la livraison des paniers à Sciences Po. Selon les membres de l’association, le contact avec Thierry a été fluide et rapide, il est “motivé et engagé” et évite le déplacement aux étudiants avec une livraison directe au campus. Les légumes proviennent de deux maraîchers différents, Ferme Bio 86 et l’Éveil, cette dernière étant un groupement d’insertion professionnelle. Pour Ecophilia, passer par l’intermédiaire du Baudet, c’est pratique, car cela permet une complémentarité entre les maraîchers pour répondre à la demande en s’adaptant à un calendrier universitaire irrégulier, qui ne correspond pas forcément aux saisons les plus généreuses. Thierry explique “on fait les paniers avec ce qu’il y a, en ce moment c’est un peu le creux mais ça redémarre avec la chaleur qui arrive”. Il faut préciser que le Baudet et Sciences Po, c’est une histoire de longue date, puisque l’épicerie coopérative accueille chaque année des étudiants de Sciences Po qui viennent y effectuer leur stage civique.
Les étudiants de Sciences Po et le Baudet ont tous deux manifesté leur envie de maintenir le partenariat sur le long terme. En ce sens, la deuxième livraison qui a eu lieu le 30 avril a été l’occasion d’acter le passage du relais à la promotion suivante ce qui permet d’assurer la pérennisation du projet et les ajustements nécessaires. Après ce premier essai et les 65 paniers livrés en avril 2025, les membres de l’association ont bon espoir d’augmenter le nombre d’étudiants bénéficiaires à la rentrée, ayant eu des retours positifs. “On voulait donner envie aux étudiants, et ça marche” sourit Natacha.
Article écrit par Gwenaëlle Jonas, étudiante de 2eme année à Sciences Po, dans le cadre de son stage civique au Baudet, 6/05/2025.
Les étudiants d’Écophilia Elena et Titouan, avec les coopérateurs du Baudet, Thierry et Pascal, lors de la réception des paniers le 30 avril 2025.Les fruits et légumes du panier : carottes, épinards, pommes, poires le 9 avril 2025.
Dmytro Kuleba, ministre des Affaires étrangères d’Ukraine de 2020 à 2024 et qui a rejoint l’École des Affaires internationales de Sciences Po en tant que professeur associé en décembre dernier a partagé avec nos étudiants le 20 mars 2025 son expérience en tant que chef de la diplomatie ukrainienne dans un contexte de guerre, dans une conférence suivie d’un temps d’échanges
Cette conférence s’inscrit dans le cadre du cours Droit et pratique du maintien de la paix et de la sécurité internationale, dispensé par M Philippe Lagrange.