Salazar : le dictateur énigmatique

De Yves Leonard

Professeur d’université à Coimbra, António de Oliveira Salazar (1889-1970) est nommé ministre des Finances en 1928 avant d’être adoubé par les militaires alors au pouvoir comme président du Conseil en 1932. Qui peut alors se douter que ce quasi-inconnu est en train de mettre en place une dictature intraitable sous des dehors policés, l’Estado Novo, laquelle, soutenue par l’Église, l’armée et le patronat, va durer quarante ans ?

Plus de détails : https://www.librairiepradoparadis.fr/product/1938561/leonard-yves-salazar-le-dictateur-enigmatique

Histoire mondiale des relations internationales de 1900 à nos jours

De Pierre Grosser – Le premier ouvrage d’ensemble publié en France et à l’étranger sur le sujet.

Cet ouvrage est la première histoire des relations internationales depuis 1900 jusqu’à nos jours. Pierre Grosser a réuni une équipe d’historiens et de politistes de premier plan. Insérés dans les réseaux internationaux, ces spécialistes portent un regard sur la scène mondiale qui n’est pas seulement eurocentré. Ils analysent les événements et leurs enjeux en s’appuyant sur les acquis récents de la recherche et l’ensemble de l’historiographie…

Plus de détails : https://www.booksunivers.com/histoire-mondiale-des-relations-internationales-de-1900-nos-jours-xml-605_363_409-7917.html

Atelier cinéma latinoaméricain: Effet Mer

Les cultures de la péninsule ibérique et de l’Amérique latine sont rentrées dans notre imaginaire par la culture populaire, et notamment grâce au cinéma. (Les Mystérieuses Cités d’Or, Coco, Kuzco, Encanto, La Casa de Papel, Narcos…). Les films espagnols, portugais, latino-américains et amérindiens constituent un laboratoire de la fabrication des identités nationales et régionales grâce à des réalisateurs comme Luis Bunuel, Alfonso Cuaron, Manoel de Oliveira, Pedro Almodovar ou Carlos Saura, dont les productions sont de plus en plus visibles dans les festivals (Cannes, Hollywood, Annecy, Saint-Sébastien, Venise, Berlin…). Cette mise en lumière permet de faire le point sur la « guerre des images » en cours entre les stéréotypes établis sur le monde ibérique et les nouvelles interprétations en provenance des territoires concernés. On peut également observer les techniques et esthétiques caractéristiques du cinéma latino-américain, qui fait désormais partie du patrimoine cinématographique mondial.

Cet atelier tente de répondre aux questions suivantes : Qu’est-ce qui est spécifique au cinéma de et sur le monde ibéro-américain ? Comment les réalisateur.ices se positionnent-iels dans cette industrie mondialisée ? Quels sont les enjeux de production de ce cinéma ?

Les étudiants ont été amenés à imaginer un projet de création cinématographique dans le genre (fiction, documentaire, animation) et le format (court, moyen, long métrage) de leur choix sous forme d’une bible détaillée. Pour les y aider, plusieurs séances ont été délocalisées à la bibliothèque du campus, afin que les étudiant.e.s puissent s’inspirer des livres à leur disposition (arts, littérature, sociologie, histoire) pour construire leur projet.

Les deux professeurs en charge de l’atelier, Manuel-Antonio Monteagudo et Antoine Gely, ont sélectionné un panel des réalisations les plus originales. Merci à tous les étudiant.e.s pour leur enthousiasme et leur créativité dans ce projet !

Atelier cinéma latinoaméricain: Bailando el silencio

Les cultures de la péninsule ibérique et de l’Amérique latine sont rentrées dans notre imaginaire par la culture populaire, et notamment grâce au cinéma. (Les Mystérieuses Cités d’Or, Coco, Kuzco, Encanto, La Casa de Papel, Narcos…). Les films espagnols, portugais, latino-américains et amérindiens constituent un laboratoire de la fabrication des identités nationales et régionales grâce à des réalisateurs comme Luis Bunuel, Alfonso Cuaron, Manoel de Oliveira, Pedro Almodovar ou Carlos Saura, dont les productions sont de plus en plus visibles dans les festivals (Cannes, Hollywood, Annecy, Saint-Sébastien, Venise, Berlin…). Cette mise en lumière permet de faire le point sur la « guerre des images » en cours entre les stéréotypes établis sur le monde ibérique et les nouvelles interprétations en provenance des territoires concernés. On peut également observer les techniques et esthétiques caractéristiques du cinéma latino-américain, qui fait désormais partie du patrimoine cinématographique mondial.

Cet atelier tente de répondre aux questions suivantes : Qu’est-ce qui est spécifique au cinéma de et sur le monde ibéro-américain ? Comment les réalisateur.ices se positionnent-iels dans cette industrie mondialisée ? Quels sont les enjeux de production de ce cinéma ?

Les étudiants ont été amenés à imaginer un projet de création cinématographique dans le genre (fiction, documentaire, animation) et le format (court, moyen, long métrage) de leur choix sous forme d’une bible détaillée. Pour les y aider, plusieurs séances ont été délocalisées à la bibliothèque du campus, afin que les étudiant.e.s puissent s’inspirer des livres à leur disposition (arts, littérature, sociologie, histoire) pour construire leur projet.

Les deux professeurs en charge de l’atelier, Manuel-Antonio Monteagudo et Antoine Gely, ont sélectionné un panel des réalisations les plus originales. Merci à tous les étudiant.e.s pour leur enthousiasme et leur créativité dans ce projet !

Atelier cinéma latinoaméricain: Más allá del dolor

Les cultures de la péninsule ibérique et de l’Amérique latine sont rentrées dans notre imaginaire par la culture populaire, et notamment grâce au cinéma. (Les Mystérieuses Cités d’Or, Coco, Kuzco, Encanto, La Casa de Papel, Narcos…). Les films espagnols, portugais, latino-américains et amérindiens constituent un laboratoire de la fabrication des identités nationales et régionales grâce à des réalisateurs comme Luis Bunuel, Alfonso Cuaron, Manoel de Oliveira, Pedro Almodovar ou Carlos Saura, dont les productions sont de plus en plus visibles dans les festivals (Cannes, Hollywood, Annecy, Saint-Sébastien, Venise, Berlin…). Cette mise en lumière permet de faire le point sur la « guerre des images » en cours entre les stéréotypes établis sur le monde ibérique et les nouvelles interprétations en provenance des territoires concernés. On peut également observer les techniques et esthétiques caractéristiques du cinéma latino-américain, qui fait désormais partie du patrimoine cinématographique mondial.

Cet atelier tente de répondre aux questions suivantes : Qu’est-ce qui est spécifique au cinéma de et sur le monde ibéro-américain ? Comment les réalisateur.ices se positionnent-iels dans cette industrie mondialisée ? Quels sont les enjeux de production de ce cinéma ?

Les étudiants ont été amenés à imaginer un projet de création cinématographique dans le genre (fiction, documentaire, animation) et le format (court, moyen, long métrage) de leur choix sous forme d’une bible détaillée. Pour les y aider, plusieurs séances ont été délocalisées à la bibliothèque du campus, afin que les étudiant.e.s puissent s’inspirer des livres à leur disposition (arts, littérature, sociologie, histoire) pour construire leur projet.

Les deux professeurs en charge de l’atelier, Manuel-Antonio Monteagudo et Antoine Gely, ont sélectionné un panel des réalisations les plus originales. Merci à tous les étudiant.e.s pour leur enthousiasme et leur créativité dans ce projet !

Interview de Santino Bernacchi

Interview de Santino Bernacchi, étudiant italo-argentin, réalisée en anglais sur son parcours